Chaque année, plus de 35 millions de grossesses surviennent dans des régions de transmission modérée à élevée du paludisme, et plus de 7 millions de grossesses exposent la mère et le nouveau-né au paludisme.
Cependant, les grossesses du premier trimestre sont généralement exclues des essais cliniques, ce qui rend les nouveaux antipaludiques indisponibles pendant cette période critique.
Chaque année
de grossesses surviennent dans des régions de transmission modérée à élevée du paludisme
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de femmes enceintes sont exposées au paludisme au cours du premier trimestre
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En 2022
de grossesses en Afrique ont été exposées à l'infection paludique
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Combler l’écart
Le consortium SAFIRE vise à combler les lacunes existantes en matière de données scientifiques et de traitement pour ce groupe de patients grâce à un essai de type plateforme adaptative de phase 3b mené dans des zones du Kenya, du Mali, du Burkina Faso, de l’Ouganda et de la République Démocratique du Congo, fortement affectées par le paludisme.
Répondre aux besoins des femmes
En s’alignant sur l’approche de l’Organisation Mondiale de la Santé consistant à diversifier les traitements de première intention pour lutter contre la résistance aux antipaludiques, SAFIRE évaluera et produira des données probantes quant à la sécurité, la tolérance et l’efficacité des antipaludiques homologués pour le traitement du paludisme lorsque l’artéméther-luméfantrine (AL) n’est pas le traitement de première intention.
Les résultats, y compris ceux générés par la recherche qualitative, seront intégrés dans les politiques et les directives, garantissant aux femmes enceintes l’accès aux meilleurs choix de traitement contre le paludisme au cours des premiers mois de grossesse.